Les enfants pas très grands n'étaient pas très souvent là, l'homme et la femme vivaient leurs vies de parents 2 jours sur 14 et/ou à distance, et prenaient du bon temps à aller au cinéma, se faire des câlins, manger n'importe quoi devant n'importe quelle idiotie à la télé, sans avoir à se soucier du bon exemple à montrer à leurs enfants puisque ceux-ci n'étaient là que par intermittence.
Au printemps 2009, il fut convenu entre la femme et le père de ses trois enfants (qui n'est pas l'homme de notre histoire) que les trois enfants viendraient vivre avec leur maman, donc 12 jours sur 14, à compter de la rentrée 2010 ; pour l'homme et la femme de notre histoire (on leur donnera des prénoms tout à l'heure), c'était une bonne nouvelle, mais ils prirent conscience aussi que leur intimité de jeune couple (le couple, pas eux, eux ils avaient 37 ans) allait en prendre un coup s'ils ne décidaient pas de se préserver un espace rien qu'à eux et du temps rien qu'à eux aussi.
Pour le temps, une bonne baby-sitter ferait l'affaire, mais pour l'espace, ça allait être un peu plus compliqué. En fait, ce qui était compliqué, ce n'était pas de trouver de la place pour que l'homme et la femme aient leur coin rien qu'à eux (les quatre enfants occuperaient tout le premier étage de la maison et chaque jeune fille aurait sa propre chambre, donc c'était l'idéal) mais de l'aménager, parce que ça prend beaucoup de temps quand on n'est pas rentier (eux peuvent le faire faire par quelqu'un d'autre) et beaucoup d'argent (car même quand on le fait soi-même, c'est pas gratuit).
Ceci dit, ils n'étaient pas à plaindre car, ça tombait bien, la femme avait un peu d'argent de côté et il y avait encore un étage dans cette maison, celui qu'on appelle les combles, avec tout ce que ça évoque de pas du tout accueillant au départ, sous un toit franchement pourri ou presque, avec juste un plancher en agglo (très bien posé entre parenthèses, message perso) pour ne pas se casser la figure entre les poutres du sol. Et autre détail intéressant : 75 m² rien que pour eux, sous une pente à 45° et un faîte à 3m70 ! Enveloppe disponible : 40 000 euros (là, tu te dis que y'a de quoi voir venir mais en fait pas du tout !).
Il n'y avait plus qu'à passer à l'

Or un
Nous ne sommes alors qu'en novembre et nos deux protagonistes, Lionel et Pascale (ça y est, c'est dit), ignorent encore tout des neuf mois qui se dessinent...
une des grand-mères est arrivée à rentrer dans le blog après des -_.httppll:://§!%µ gargl crottezut et merdes finalement fructueux ...
RépondreSupprimeron la reconnaîtra ..;
elle attend la suite ,mais peut témoigner que le doux ventre de sa fille est bien rond et que les enfants sont sereins ...
très belle histoire !!! vivement la suite ya trop de suspens lol bisous
RépondreSupprimerC'est chouette de recevoir des petits mots ici !!!
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerEn bref que du bonheur. J'ai beaucoup aimé l'histoire des gamètes hellenistiques. Une Pascale cultivée, ce qui n'etonnera pas ses amis. Par contre, pas joli,joli le coup d'enfermer son amoureux dans les combles qui doivent devenir un petit nid douillet.
RépondreSupprimerTrès touché d'avoir des nouvelles.
Ex Doc. Familial.
Et en plus des nouvelles de mon doc !!!
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